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Ma femme,
Sans elle,
Mes larmes couleraient
A en faire une mer,
Un océan géant,
Sans elle,
Moi, je m'étourdirais
Dans des rondes sans fin,
Des fontaines d"amour ,
Sans elle,
Je ne suis qu'un pierrot,
Un duettiste en solo,
Sans elle, je suis de trop
Bien sûr, c'est de toi que je parle,
Toi, mon amour, ma femme
Ma femme,
Toi qui sais comme il est fragile
L'infâme,
L'homme aux poissons d'avril,
Aux larmes,
Toi qui sais, aux matins d'hiver,
La flamme,
Les moulins à vent en colère,
Mon âme,
Ma femme, toi qui as su m'attendre
Qui as su me comprendre,
Toi qui as pris le temps
De faire mes enfants
Toi qui as su m'aimer
Qui as su pardonner
C'est de toi que je parle, ma femme
Sans elle,
Je ne serais plus rien
Qu'une peine, un chagrin,
Un fantôme, un pantin,
Sans elle,
Y aurait plus de soleil
Plus d'oiseau, plus d'abeille,
Rien ne serait pareil,
Sans elle,
Je connaîtrais le goût
Des chagrins d'amour fou
Je manquerais de tout,
Bien sûr, c'est de toi que je parle,
Toi, mon amour, ma femme
Ma femme,
Toi qui sais comme il est fragile
L'infâme,
L'homme aux poissons d'avril,
Aux larmes,
Toi qui sais, aux matins d'hiver,
La flamme,
Les moulins à vent en colère,
Mon âme,
Ma femme, toi qui as su m'attendre
Qui as su me comprendre,
Toi qui as pris le temps
De faire mes enfants
Toi qui as su m'aimer
Qui as su pardonner
C'est de toi que je parle, ma femme
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Commentaires
Mes remerciement tout fraternels pour ce site qui touche au coeur. Un chant pour ceux qui aiment tant leur pays, restent attachés à leur terroir, à leur ville, y sacrifient de leur énergie, espèrent l'avènement d'une gouvernance algérienne digne qui saura hisser nos populations, toutes nos populations, vers un mieux-être, éteindre les vilénies pratiquées à grande échelle, exalter les valeurs du travail, du savoir, et du mérite. Miiliana l'éternelle ne démérite pas de ses enfants. Puissent-ils toujours l'honorer en cela honorer l'Algérie.